Une nouvelle enquête menée par Vanson Bourne pour Salesforce au niveau mondial révèle que les demandes en automatisation au sein des entreprises sont en forte hausse. Celles-ci proviendraient de différents départements soucieux d’accroître leur rendement et leur productivité face à l’incertitude macroéconomique actuelle.

69 % des organisations françaises craignent néanmoins que la prise en charge de l’automatisation n’aggrave leur dette technique.

Paris, le 5 juillet 2022 — Face aux incertitudes macroéconomiques actuelles (marchés, emploi, coûts, etc.), les CEO et les dirigeants veulent stimuler leur croissance, réduire leurs coûts, et accroître leur productivité. Plus que jamais, les entreprises, grâce à un ensemble d’outils d’intégration et de gestion d’API, se tournent vers des technologies d’automatisation afin de créer de la valeur plus rapidement, et à tous les niveaux pour les équipes chargées des ventes, du service client, du marketing et des activités commerciales.

Pour comprendre comment les services informatiques répondent aux défis auxquels ils sont confrontés, Salesforce a commandé une étude mondiale auprès de 600 DSI et décideurs informatiques, dont une centaine en France.

Oui à l’automatisation (mais pas à n’importe quel prix)

La grande majorité (87 %) des personnes interrogées ont constaté une hausse de la demande d’automatisation de la part des équipes métiers ces deux dernières années. D’après les résultats, l’essentiel de cette demande provient de quatre départements :

• recherche et développement (41 %) ;
• service administratif/équipes de production (41 %) ;
• marketing (33 %) ;
• service client (23 %).

L’enquête révèle également que l’accumulation de solutions technologiques existantes et parfois très anciennes ralentissent les équipes informatiques dans leur réponse aux besoins d’automatisation provenant des métiers. Près de l’intégralité (93 %) des personnes interrogées en France estiment que la modification et la reconstitution d’automatisations représentent des défis à l’heure où les exigences des systèmes et des entreprises évoluent. De plus, 69 % des répondants pensent que la restructuration des applications et données est susceptible d’aggraver la dette technique de leur organisation.

« Les organisations de tous les secteurs veulent automatiser leurs processus et leurs expériences clients aussi vite que possible. Cependant, en s’appuyant sur les mauvais outils et techniques, elles risquent en réalité de freiner l'innovation », déclare Matt McLarty, directeur technique de terrain mondial, et vice-président du Digital Transformation Office chez MuleSoft. « Il est essentiel pour elles d’être en mesure de s’adapter au progrès technologique, afin de créer leurs automatisations et de connecter leurs applications et leurs données de façon globale. En l’absence d’une approche plus composable, les organisations risquent d’alourdir leur dette technique plutôt que de l’alléger. »

Entre les bonnes mains, l’automatisation peut être une source de croissance

Les organisations françaises tentent de profiter pleinement du potentiel de l’automatisation, aussi bien pour stimuler leur croissance que pour se développer plus rapidement et de façon moins disruptive. Près de la moitié (51 %) d’entre elles s’appuient sur des capacités d’intégration et de gestion d’API pour soutenir leurs efforts d’automatisation des processus métiers et ainsi offrir une expérience client connectée et unique.

Pour orchestrer l’utilisation d’une multitude de technologies, d’outils et de plateformes, certaines entreprises optent pour une stratégie d’hyperautomatisation, une approche orientée métier adoptée par les organisations pour identifier, contrôler et automatiser rapidement autant de processus métiers et informatiques que possible. Selon l’enquête, 78 % des organisations françaises intégreront l’hyperautomatisation à leur feuille de route dans les 24 prochains mois. Elles auront donc besoin des outils et capacités adéquats pour créer et modifier des automatisations.

« Les organisations ne doivent jamais considérer leur mission comme accomplie une fois le processus automatisé », poursuit Matt McLarty. « S’il nous faut tirer une leçon en ces temps incertains, c’est bien la nécessité d’adopter une nouvelle mentalité dans le cadre professionnel. »

« Dans cette économie numérique, les organisations florissantes sont celles qui s’adaptent le plus vite aux changements. Les acteurs établis doivent donc se concentrer sur trois objectifs : se développer de façon efficiente et durable ; accroître leur agilité de manière sûre à l’échelle ; et innover constamment. »

En savoir plus

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Méthodologie de l’enquête

Salesforce a interrogé 600 responsables informatiques d’entreprises internationales en partenariat avec le cabinet Vanson Bourne. L’enquête a été menée en ligne en février 2022 aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et en Australie. Seuls des candidats aux profils pertinents et validés à l’issue d’un processus de sélection complexe et rigoureux ont pu y prendre part. Tous les répondants travaillent dans des organisations du secteur public ou privé comptant au moins 1 000 salariés, et occupent des postes de (haute) direction au sein d’un service informatique.

À propos de MuleSoft, une filiale de Salesforce

Avec MuleSoft, fournisseur de la plateforme leader d’intégration et d’API, les entreprises peuvent décloisonner et intégrer leurs applications et données afin de créer plus rapidement des expériences connectées. Pour plus d’informations, rendez-vous sur mulesoft.com/fr.

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