Les pieds sur terre, la tête dans le cloud
Portrait de l'agriculteur en 2022
Transformations climatiques, évolution des attentes des consommateurs, concurrence exacerbée… Le secteur agricole a rarement subi autant de pressions. Leur action simultanée impose une remise en question de la production, de la distribution et de la vente.
En première ligne, un grand nombre d’agriculteurs se sont déjà engagés dans de nouvelles approches et de nouvelles pratiques plus efficaces, souvent soutenues par des outils numériques : l’exploitant agricole d’aujourd’hui a les pieds sur terre et la tête dans le cloud. Il attend de ses partenaires, en amont et en aval, un accompagnement à la hauteur de ces enjeux d’envergure : améliorer les performances économiques et environnementales, faire preuve d’agilité face aux fluctuations des marchés, rassurer les consommateurs tout en répondant rapidement à leurs nouveaux besoins, se conformer aux réglementations sans cesse réformées, explorer des opportunités de croissance…
Ces grands défis, les coopératives agricoles et les négociants privés doivent s’en emparer dès aujourd’hui, au risque de perdre leur position de rouage central de la filière. Plus que jamais, leur relation avec les producteurs et les industriels de l’agroalimentaire doit être plus intégrée pour plus de fluidité et d’efficience.
En première ligne, un grand nombre d’agriculteurs se sont déjà engagés dans de nouvelles approches et de nouvelles pratiques plus efficaces, souvent soutenues par des outils numériques : l’exploitant agricole d’aujourd’hui a les pieds sur terre et la tête dans le cloud. Il attend de ses partenaires, en amont et en aval, un accompagnement à la hauteur de ces enjeux d’envergure : améliorer les performances économiques et environnementales, faire preuve d’agilité face aux fluctuations des marchés, rassurer les consommateurs tout en répondant rapidement à leurs nouveaux besoins, se conformer aux réglementations sans cesse réformées, explorer des opportunités de croissance…
Ces grands défis, les coopératives agricoles et les négociants privés doivent s’en emparer dès aujourd’hui, au risque de perdre leur position de rouage central de la filière. Plus que jamais, leur relation avec les producteurs et les industriels de l’agroalimentaire doit être plus intégrée pour plus de fluidité et d’efficience.